Tout dans la société tente de nous faire croire que la maladie s’attrape, que les agressions proviennent de l’extérieur. Au contraire, le décodage biologique nous fait comprendre que la maladie vient de l’intérieur et qu’il s’agit d’un programme spécial de survie. En ce sens, la maladie, ou l’équivalent d’une maladie, représente la solution parfaite du cerveau d’une personne pour vivre en réponse au conflit biologique vécu dans le « surstress ».
« Nous sommes les créateurs de notre réalité, de nos maladies comme de nos guérisons. Il suffirait aujourd’hui d’en prendre conscience pour qu’une planète entière entre en phase de guérison ! »
Entre autres les allergies, l’eczéma et l’asthme, les troubles intestinaux, les troubles du comportement, relèvent le plus souvent de l’insécurité affective, avec biens sur de multiples facteurs favorisants ou aggravants comme les vaccinations, l’alimentation industrielle, les pollutions électromagnétiques et audiovisuelles.
Plusieurs possibilités nous sont alors offertes pour résoudre notre ressenti conflictuel ; soit par la pensée (acceptation, dépassement,) soit par le physique (fuite, affrontement). Si ces deux solutions sont impossibles, le cerveau va rentrer en réaction de survie biologique et produira sa propre solution, selon les programmes en place. Pour ce faire, il peut agir sur les cellules de 4 manières différentes : la multiplication (exemple : tumeur), l’ulcération (exemple : ulcères), le blocage (exemple : l’hypoglycémie) et le déblocage (exemple : hyperthyroïdie). Ces quatre possibilités regroupent l’ensemble de toutes les maladies.
Au lieu d’essayer d’échapper aux conflits, il vaut mieux travailler à devenir un expert en résolution de conflit. Pour faire un travail de guérison en profondeur, il est nécessaire de s’intéresser à plusieurs périodes pendant lesquelles les conflits peuvent apparaître.
« Tout ce qui ne parvient pas à la conscience revient sous forme de destin ».