« Tout cancer résulte d’un choc psychique, conflictuel, dramatique, vécu dans l’isolement. Notons bien qu’il s’agit d’un conflit biologique et non psychologique, une réaction neuro organique de survie .” Comme l’animal, l’homme vit des affrontements territoriaux, des situations de dévalorisations, des conflits avec ses descendants, des frustrations, et il n’est pas toujours capable de les résoudre, il est souvent incapable de les évacuer par les mots. Dès lors, va apparaître une « maladie », que nous devons considérer comme un langage.
Il existe toujours une corrélation précise entre, d’une part, l’aspect émotionnel, la façon subjective dont le patient a vécu et ressenti le choc initial, et d’autre part, le cerveau où se produit instantanément une rupture de champ dans une aire spécifique correspondant à la nature du conflit (lésion visible au scanner), enfin, l’organe ou le tissu en relation avec cette zone cérébrale, où va démarrer instantanément un processus de cancérisation.
Autrement dit, les maladies sont des programmes biologiques porteurs de sens, et il n’y a dès lors ni fatalité génétique, ni virus oncogène, ni facteur extérieur qui puisse générer un cancer en l’absence d’un violent traumatisme psycho émotionnel. Un petit conflit donnera lieu à une maladie bénigne (une grippe par exemple), un gros conflit à une maladie grave (un cancer, un diabète…), mais toujours, la guérison se produira spontanément dès que le patient prendra conscience de l’origine de son mal, et surtout trouvera une solution pratique à son conflit pour éviter les récidives.
Il ne s’agit que d’une façon de voir la maladie et il en existe de nombreuses autres.